Après un hiver rigoureux qui n’en finissait plus, ces premiers rayons de soleil font un bien fou au moral. Pour l’heure, chaque instant libre est prétexte à s’exposer à cette lumière euphorisante. D’ici quelques semaines pourtant, déjà saturés des douceurs de l’astre le plus attendu de l’année, chacun s’en protègera de mille manières. L’une d’elles, un peu oubliée, devrait à nouveau faire de nombreux adeptes. Le parasol. Trainant derrière lui des décennies de rayures aux couleurs empruntées aux années 1970, l’encombrant parasol de plage avait fini par être relégué au garage. Quant à celui du jardin, lourd et difficile à manipuler, fatigué au bout d’un été à peine, beaucoup avaient fini par s’en passer. Mais ça, c’était avant que Klaoos ne réinvente le parasol.
Un parasol repensé, beau, durable et équitable
Plage, terrasse, jardin ou même poussette, Klaoos repense cet objet oublié. Pour cette deuxième collection, la toute jeune marque française propose trois gammes de parasols, tous hauts en couleurs, et d’une excellente qualité. Claudia Calcina, fondatrice de la marque installée en France depuis 12 ans, n’a rien voulu faire à moitié. Pour elle, il était hors de question de sacrifier le look au pragmatisme, pas plus qu’il était envisageable de fabriquer un produit qui ne soit ni durable ni éthique. Elle a donc misé sur une production totalement européenne, avec des matériaux et des techniques soigneusement sélectionnés.
Un parasol européen
Les tissus utilisés sont non seulement imperméables, mais offrent aussi une protection anti-UV UPF 50+. Fabriqués en Allemagne, ils sont ensuite imprimés en France dans une imprimerie labellisée Imprim’vert, respectant l’environnement. Quant à la structure, Klaoos a fait appel à des fabricants italiens spécialisés. Les baleines sont ainsi capables de résister au vent, aux nombreuses utilisations, et bien entendu, au temps qui passe. Enfin, le tout est assemblé en Italie. Au final, toute la chaîne de fabrication s’organise dans un périmètre réduit de 1000 kilomètres en Europe. Il y a deux conséquences à cela. D’abord, les émissions de Carbone sont très limitées, ensuite les droits du travail sont respectés.
Comptez environs 70 € pour une ombrelle de poussette universelle. 130 € pour un parasol de plage. 250 € pour un parasol de jardin.
Avril 2018.