Alors que les start-up ont révolutionné les codes du travail, en offrant davantage de libertés à leurs salariés et en développant des espaces de travail conviviaux, elles font un étonnant retour dans le passé en faisant l’éloge des uniformes.
“Elles ont un fort besoin identitaire, elles cherchent à développer le sentiment d’appartenance parmi leurs collaborateurs”, explique Olivier Ramel, créateur de Kymono.
Le jeune homme de 27 ans a lancé sa start-up il y a maintenant un an et demi. Kymono propose environ 400 références qui peuvent habiller les salariés “de la tête au pied”, selon les dires du fondateur de la start-up, avec des versions hommes et femmes pour être adaptés aux morphologies de tous.
Source: bfmtv.com – 10/11/2018