Une jeune femme diplômée en commerce, Sandra Seilz, a développé le “safe shorts”, présenté comme une protection anti-viol, fabriqué dans un tissu high-tech aussi léger qu’impossible à déchirer ou à couper.
Le vêtement est aussi équipé d’un cadenas avec un code aux nombreuses combinaisons se fermant à la taille. Troisième sécurité : l’alarme. Une sonnerie atteignant les 130 décibels se déclenche si quelqu’un essaye de baisser le short mais aussi manuellement en tirant sur un petit fil. Le prototype a été réalisé en septembre 2016 puis un site internet lancé.
La première série de 150 shorts a rapidement été épuisée, même si le short fait polémique et est dénoncé comme un “retour au moyen-âge” par plusieurs femmes.